According to ITT, the process of translation is divided into three stages: comprehension, deverbalization, and reformulation; furthermore, deverbalization assumes a vital role between both comprehension and reformulation. L’environnement, une spécialisation durable ? consécutive), soit au rayon « théories littéraires ¬ (les oeuvres développant une théorie littéraire de la traduction ou un aspect de la traduction littéraire). 6, ‘Issues of Translation Pedagogy’, 1999 : 21-32. En d’autres termes : Conçue hors des sentiers universitaires classiques par des professionnels et pour des professionnels, elle bouscule un certain nombre de croyances bien ancrées en affirmant, par exemple que la vraie traduction n’est pas un instrument d’apprentissage ni une opération linguistique mais un acte de compréhension, de communication et d’écriture, qu’elle ne dépend ni du rapport de langues ni du domaine abordé. 1981 "Recherche universitaire et théorie interprétative de la traduction", Montréal, META, Vol. choisi, à savoir la Théorie Interprétative de la Traduction telle que développée par Danica Seleskovitch et Mariane Lederer (1984, réédité en 2001), tout en présentant notre propre vision de la uestion et de la thémati ue ui l’entou e. Le Premier Chapitre que nous avons intitulé « Quelques repères dans l’histoire de la Autant de principes qui dérangent et ont encore du mal à s’imposer (p. 79). 11-20. II. I. Langage et langues — Etude et enseignement. By Enobong Joseph Inyang. La publications aborde la problématique des grandes théories occidentales de la traduction. La théorie interprétative a traversé les décennies en confortant, contre vents et marées, sa position dans le domaine de la traductologie. La théorie interprétative de la traduction - origine et évolution . Traduction — Etude et enseignement. Freddie Plassard, « La Théorie interprétative de la traduction », Traduire [En ligne], 216 | 2008, mis en ligne le 01 mars 2008, consulté le 15 janvier 2021. 1980 "Pour une théorie de la traduction inspirée de sa pratique", Montréal, META, Vol. She coined the name Interpretive Theory of Translation and, even before Translation Studies became a field in its own right, introduced the process of translation into the vast area of cognitive research. 2 Voir l’article « sème » dans R. Galisson et D. Coste (dir. Also translated in Chinese 2005, Serbian 2007. Linguistic formulation alone does not unlock the whole of sense, it only points to the whole. La théorie de la traduction 1. 6C’est toutefois par la mise en parallèle ou le dialogue avec d’autres théories, qu’elles soient traductologiques ou non, que l’objet de la théorie interprétative et les prises de position dont elle est caractéristique s’éclairent le mieux, par contraste. On y décèle d’entrée de jeu le souci constant de situer la théorie interprétative par rapport à ses sources, exégètes voire contradicteurs, autrement dit d’éclairer, expliciter un intertexte théorique parfois resté implicite. Les avancées théoriques ne résolvent pas nécessairement les difficultés rencontrées dans la pédagogie qui se donne pour objet ou projet de faire émerger une pratique raisonnée de la traduction, là où le processus d’interprétation est « largement intuitif, spontané, effectué sans y penser par le lecteur grâce à sa compétence interprétative » (p. 81). Speaking of translation (but the same is true for interpretation) translators, acting as mediators between authors who want to communicate and readers who want to understand them, operate in this area of overlap. This enables translators to discover in the target language modes of expression bearing little or no relation to the signs of the original language.[10]. Abstract. It is rooted in practice. Oral translation lends itself better than written translation to a detailed examination of the cognitive process of translation. Le sens le plus courant est : « faire passer un texte d'une langue à une autre ». ITT is not therefore a mere abstract construct. The explicit layer of texts is a series of synecdoches. PLASSARD, F. Lire pour Traduire, Paris : PSN, 2007. [8] Anticipation of sense, which often occurs in oral communication and oral translation,[9] is one more proof that, in context and situation, a full verbal support is not always necessary for comprehension to take place. Nevertheless, correspondences are often necessary and the fact that correspondences and equivalences coexist in all translation products, whatever the type of discourse may be regarded as one of the universal laws of translational behavior. Again, this assertion has been corroborated by various researchers.[6]. Initially, Seleskovitch[11] noted the existence in interpretation (later also demonstrated for written translation) of two translating strategies: a translation by carefully controlled correspondences of a few linguistic elements between one language and the other, but also the creation in context of equivalences between segments of speeches or texts. G. Roux-Faucard s’attache à démontrer, telle un détective menant l’enquête au plus près des textes et des indices énonciatifs, en quoi deux approches que tout a priori devrait diviser, convergent en réalité, sous réserve de remonter le fil qui permet de tisser l’isotopie de l’interprétation dans des corpus théoriques de prime abord fort distants. La part accordée à la traduction littéraire, à la traduction en langue des signes l’atteste. 16Par ailleurs, s’il est vrai que dans les années 60, les idées de D. Seleskovitch allaient résolument à l’encontre des idées dominantes (Lederer, t. I, p. 92), le contexte idéologique, pris dans un sens large voire panoramique, n’a-t-il pas évolué ? La méthodologie de recherche adoptée (t. I, p. 23 et sq.) 18Si l’ouvrage en trois tomes4 avait pour objet de rendre hommage à l’œuvre de Seleskovitch, nul doute que le pari a été tenu. [13] Since languages differ not only in their lexicon and grammar but also in the way natives speakers express their thoughts, the combination of explicit and implicit parts is not the same in any two languages even though they may designate the same whole. Elle refuse le caractère énigmatique du « sens » et le considère comme une « orientation » de l’esprit du traducteur à un moment donné concernant un sujet particulier. Topics: Théorie interprétative de la traduction, Antoine Berman, Traductologie, [SHS.LITT]Humanities and Social Sciences/Literature, [SHS.LANGUE]Humanities and Social Sciences/Linguistics Ensuite, je vais présenter la Théorie de la terminologie de Maria Teresa Cabré et mettre l’accent sur la terminologie dans la traduction, les langues de spécialité et la traduction des textes en langue de spécialité. ITT always insisted that, although most words are polysemic in language systems, they lose their polysemy in a given context; the same is true of ambiguity in discourse as long as readers bring to the text the necessary relevant extra-linguistic knowledge. ), on trouve un certain nombre de théories spécifiques à la traduction . augmented edition 2002). 10.2 Vers l’enseignement de la traduction interprétative en cours de langue 96 . […] Si l’on ose penser jusqu’au point où elle nous invite à le faire, la traduction « interprétative » n’aurait donc plus à prendre en compte que deux types d’unités de sens : les sèmes et les isotopies (p. 80). Also translated in Korean 2001, Hungarian 2006, Russian 2010, Arabic 2012, Georgian 2013. You may have already requested this item. Clearly visible in oral translation, deverbalization is more difficult to observe in written translation because the original text does not disappear, as do the sounds of oral speech. [7] We all experience deverbalization in everyday communication: we keep in mind facts, notions, events conveyed by words, but we do not retain these words in our memory. The Interpretive Theory of Translation (ITT) is a concept from the field of Translation Studies.It was established in the 1970s by Danica Seleskovitch, a French translation scholar and former Head of the Paris School of Interpreters and Translators (Ecole Supérieure d’Interprètes et de Traducteurs (ESIT), Université Paris 3 - Sorbonne Nouvelle). 14À l’issue de cette vaste rétrospective, ne serait-on tenté de penser qu’en fait, ce qui a le plus changé au fil des décennies, c’est l’entour de la théorie interprétative, sous la forme des conditions pratiques d’exercice des métiers de la traduction et de l’interprétation, d’une part, et du contexte de formulation – structuralisme et générativisme semblent avoir fait long feu – voire de changement de paradigme, d’autre part ? Be the first. ITT recognized that sense is not contained in any language or text as such but arises from cues given by the language of the written text or oral discourse plus cognitive inputs from the target reader or listener. 8Parmi les disciplines avec lesquelles le dialogue a pour ainsi dire été tenu de s’établir, figure la linguistique, longtemps synonyme de générativisme et de comparatisme dans les écrits de l’école de Paris. Translation by J. Harmer, 1995. McMillan, 1978. Introduction ll. ITT found an explanation of comprehension in Piaget’s assimilation/accommodation principle, according to which to understand, we integrate new information to prior knowledge and this prior knowledge adjusts to the new situation. However, when graphic signs are immersed in context, translators interpret them directly into sense. Il en résulte que : La traduction par équivalence ne suppose pas la conservation du sémème, mais la conservation du sens, c’est-à-dire uniquement celle de sèmes organisés selon certaines isotopies. The translator’s rendering enables them to discover the text superficially or deeply, in the same way as readers of the original. ITT first developed on the basis of empirical practice and observation of interpreting. 12F. 26, n° 3, Presses de l’Université de Montréal, pp. 7Si M. Lederer, cofondatrice de la théorie interprétative, souligne que cette théorie véhicule des « principes qui dérangent et qui ont du mal à s’imposer », elle a également à cœur de battre en brèche nombre d’idées reçues à son sujet, constatant qu’à ce jour et en dépit de toutes les critiques formulées, dans lesquelles entrent en proportion non négligeable les erreurs ou omissions de lecture, nul n’a été en mesure d’avancer une théorie générale qui viendrait s’y substituer ou la détrôner (p. 134). La théorie analytique de la traduction et de l’interprétation 3 3. Translation by Dailey, S. & E.N. Seleskovitch, D., 1975. Seleskovitch, D., [1968] 1978. IV, SUNY, 1990: 53-60. Il est dès lors quasi impossible de vouloir rendre compte de toutes les contributions et c’est à la notion d’interprétation telle qu’elle se dégage de l’analyse comparative qui en est faite par G. Roux-Faucard que nous nous intéresserons. See under Publications. Of all the various possible meanings of a word, only one is apparent when used in a text. The ITT found support for this postulate in neuropsychology, which suggests that language and thought are located in different areas in the brain. Diverses approches de la traduction 2. 2005 (English) In: La traduction. Interpréter n’est pas traduire : l’interprétation elle-même est This sense remains present as awareness while the signs fall into oblivion. DROZDALE-AMMOUR, E., “The Theory and practice of Training Translators”, Hommage à E.A. Qu’est-ce que la traductologie, Artois Presses université, 2006, pp. Théorie du sens ou la Théorie interprétative de la traduction, que l’on appelle aussi parfois Théorie de l’École de Paris, repose sur un principe essentiel: la traduction n’est pas un travail sur la langue, sur les mots, c’est un travail sur le message, sur le sens. Bien que de Cicéron à Schleier- DC Description : “ The analysis of the types of errors helps advance the science of translation. On notera ici que la citation des propos parfois virulents ou dépréciateurs tenus par les détracteurs montre a contrario la force acquise par la théorie en question, puisque le discours de contradiction peut lui-même être intégré au corpus des textes fondateurs, suffisamment conforté par les années de pratique, les corroborations diverses et les travaux qui la prolongent pour y accueillir la critique. SELESKOVITCH, D., Interpreting for International Conferences – Problems of Language and Communication, Washington DC, Pen and Booth (first published in French as L’Interprète dans les conférences internationales –Problèmes de langage et de communication, 1968). Salama-Carr, M 2005, 'Théorie interprétative et contrastivité' , in: La theorie interpretative de la traduction: II: convergences, mises en perspectives (Interpretative theory of translation: volume 2, convergences, put into perspective), Lettres Modernes Minard, pp. 304–308. (2005) «Etude de l’effort cognitif du traducteur lié à la reformulation de métaphores». à partir de ce postulat de départ, la production théorique de D. Seleskovitch se poursuit dans deux directions : l’une à visée didactique, développée et illustrée dans le tome 3 de l’ouvrage, l’autre davantage axée sur la philosophie du langage, vaste terrain d’exploration pour une théorie qui n’a cessé d’évoluer depuis quarante ans et dont témoigne son ouverture à des positions et pratiques autres que celle qui lui a servi de point de départ, celle de l’interprétation.
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