Nabopolassar, sans doute le gouverneur de la région du Pays de la Mer, et probablement d'origine chaldéenne, profite des troubles en Assyrie pour prendre le pouvoir à Babylone en 625 av. À l'époque de la domination perse (V e – IV e siècle av. La vie au palais royal de Babylone n'est approchable que par quelques tablettes du temps de Hammurabi, provenant de la correspondance diplomatique du roi de Mari, évoquant avant tout des tractations intéressant celui-ci[25]. La porte d'Ishtar est surtout célèbre pour son décor constitué de panneaux en briques glacées bleues ou vertes qui représentaient des taureaux et des dragons ayant une fonction protectrice[86]. J.-C. avant de porter peu à peu le conflit chez son voisin du nord[44]. La seule construction d'époque perse identifiée clairement par les fouilleurs du site dans ce palais est le « Bâtiment perse » (Perserbau), une construction sur terrasse localisée à l'ouest entre le palais et le bastion Ouest et qui est accessible depuis le premier par une porte donnant sur une esplanade[133]. Tout le long des campagnes de fouilles menées à Babylone depuis le milieu du XIXe siècle, des tombes ont été mises au jour en plusieurs endroits. ), O. Pedersen, « Archives et bibliothèques à l'époque paléo et médio-babylonienne », dans, B. André-Salvini, « Inventaire des sources », dans, F. Joannès, « Babyloniens post-cassites (rois) », dans, F. Joannès, « Néo-babyloniens (rois) », dans, Lawrence Boadt "Reading the Old Testament - an introduction" (second edition, 2012) Aucune mention de ces édifices n'ayant été retrouvée dans les nombreuses inscriptions de fondation du roi babylonien, leur repérage n'a pu être effectué. Les portes principales pouvaient être voûtées. Le premier et le plus important à en avoir laissé une description est Hérodote dans la première moitié du Ve siècle av. Des zones d'ombre demeurent malgré tout, sur ce qui constitue l'un des plus importants sites archéologiques du Proche-Orient ancien, tandis que les perspectives de nouvelles recherches sont réduites du fait de la situation politique actuelle de l'Irak. … Cela se veut un message pour les rois suivants, à qui ils conseillent de bien traiter le dieu et son grand temple[163]. C'est le cas d'une tombe de période achéménide d'un enfant disposé dans une jarre, qui dispose d'objets et de parures riches dont une ceinture ornée de pierres précieuses. J.-C. mentionnée dans la Bible[121]. Pergamon Museum. L'autre grande divinité de la ville est Ishtar de Babylone, connue aussi sous l'épithète de « Dame de Babylone » (Bēlet Bābili), hypostase locale de la grande déesse mésopotamienne Ishtar, qui a le rôle de protectrice des défenses de la cité[137]. La vie des élites politiques de Babylone est cependant très mal connue en l'absence de sources similaires aux dizaines de milliers de tablettes des capitales de l'empire assyrien : on ne sait donc pas grand-chose de la cour et de l'administration centrale de l'empire babylonien, ou de celles des gouverneurs des empires successeurs. L'ensemble cultuel principal de Babylone est celui dédié au dieu de la cité, Marduk, l'Esagil (sumérien É.SAG.ÍL, quelque chose comme « Maison à la tête haute »), terme qui pouvait désigner le temple bas seul ou bien l'ensemble du sanctuaire, ziggurat comprise[138]. La ziggurat en elle-même a disparu depuis l'Antiquité, et seules ses fondations ont pu être fouillées, le reste des connaissances permettant de tenter de restituer son aspect provenant de la Tablette de l'Esagil qui en donne les dimensions et également d'une représentation de l'édifice sur une stèle[142]. Il était supporté par sept piliers en briques et en pierre dont trois ont pu être bien dégagés, en forme de bateaux et mesurant 21 × 9 mètres. On sait par les mentions d'auteurs grecs et latins et par des textes cunéiformes qu'il continue de fonctionner au Ier et au IIe siècle de notre ère comme cela a été évoqué plus haut. J.-C.). Ses ramifications se sont infiltrées partout et son système de croyances a survécu jusqu'à aujourd'hui (cf. Le calendrier liturgique de Babylone était émaillé de fêtes religieuses plus ou moins régulières, certaines revenant mensuellement tandis que d'autres étaient annuelles, voire plus exceptionnelles. J.-C., elle connaît une croissance rapide sous l'impulsion d'une dynastie amorrite qui remporte plusieurs succès militaires majeurs, durant la période dite « paléo-babylonienne » (2004-1595 av. Celle-ci est exsangue au moment où Séleucos Ier réussit, à l'issue de la guerre babylonienne, à raffermir sa domination sur la région en 311[51]. Lors de la redécouverte et des fouilles de Babylone (dans le sud de l'Irak actuel) au début du XXe siècle, l'emplacement des jardins suspendus a été cherché. Des tombes parthes riches ont également été mises au jour sur le tell Babil. Elle était d'une importance capitale dans la topographie de la ville car c'est par elle que passait la Voie processionnelle, l'axe de communication principal rejoignant le grand sanctuaire de la ville, et elle bordait les palais royaux. Les textes des Pères de l'Église témoignent de leur méconnaissance de l'histoire de cette cité et d'un basculement vers la vision fantasmée négative de celle-ci, qui reste ancrée dans la tradition chrétienne par la suite[175]. On retrouve aussi cet emploi du nom de la ville antique pour condamner l'oppression et la corruption dans des discours du mouvement rastafari et de différents styles musicaux (reggae, rap)[179]. L'image négative de cette ville est par la suite reprise dans le Nouveau Testament des Chrétiens, notamment pour être assimilée à Rome, nouvelle puissance dominatrice et persécutrice. H. Gasche, « Les palais perses achéménides de Babylone », dans J. Perrot (dir.). Son fils et successeur Samsu-iluna (1749-1712 av. La divinité tutélaire de Babylone est Marduk, divinité aux origines obscures qui s'est progressivement hissée au sommet du panthéon de Mésopotamie appuyé par la royauté babylonienne triomphante et le clergé de l'Esagil, durant la seconde moitié du IIe millénaire av. La succession d'Assarhaddon, en 669 av. Comme il a été vu plus haut, les niveaux connus du palais Sud sont généralement attribués aux rois néo-babyloniens, mais la partie occidentale de l'édifice pourrait dater de l'époque perse, avec des réaménagements possibles dans les parties orientales[120]. J.-C. Sous les Achéménides, son gouverneur (appelé dans les textes cunéiformes par le titre babylonien pahāt et non par celui de satrape) dirige une vaste province couvrant au départ tout l'ancien empire babylonien, donc jusqu'à la Méditerranée, avant que son territoire ne soit réduit à la seule Mésopotamie[54]. Le texte concernant la taxe de débarquement évoqué ci-dessus indique que le pont servait également de lieu de transit de marchandises, et qu'il était placé sous la responsabilité de trois « gardiens » rémunérés par une partie des taxes qui y étaient perçues[88]. Changer ), Vous commentez à l’aide de votre compte Facebook. Il s'agissait donc sans doute du secteur administratif du sanctuaire de Marduk, l'Esagil étant un temple richement doté en terres, employant un personnel pléthorique d'esclaves, dépendants et autres partenaires économiques (notamment les familles de notables locaux). Babylone, ville antique de Mésopotamie située sur l’Euphrate dans ce qui est aujourd’hui l’Irak, à environ 100 km au sud de l’actuelle Bagdad, près de la ville moderne de Hilla. J.-C.) maintient encore pendant un certain temps cette suprématie, mais il fait face à plusieurs révoltes qui affaiblissent son royaume. Pour améliorer le transit de marchandises et de personnes, les quais de la partie est furent réaménagés au temps de Nabuchodonosor II. Dans l'Apocalypse de Jean, la « Grande prostituée » porte le nom de Babylone, et cette ville y est à plusieurs reprises citée comme symbole du Mal et de la tromperie. Dans les textes on nous parle d’une Tour de Babel qui comme son nom l’indique vraiment à moitié se trouve à Babylone. Fausse Reconstitution de Babylone. Plus tard le centre de gravité de leur royaume se déplace vers l'ouest et Antioche devient la capitale principale de leurs successeurs, qui perdent progressivement la Babylonie face à l'avancée des Parthes qui la dominent définitivement sous Mithridate II (123-88 av. Elle était construite dans une enceinte de 460 × 420 m de côté au maximum, occupant donc une vaste surface de la ville, en plein centre de celle-ci[141]. À partir du règne d'Antiochos IV (vers 170 av. Au cours des siècles suivants, Babylone sera abandonnée. Le Kasr, le tell des palais royaux principaux, est le premier exploré, avant le complexe de Marduk (tells Amran Ibn Ali et le Sahn). Babylone a aussi considéré comme le symbole de l'orgueil puni avec la fameuse histoire de la Tour de Babel. La cour de celui de Nabû ša harê est recouverte de bitume et ses murs portent un décor sommaire en noir et blanc. Il permet de préciser la vision d'ensemble de la ville, tandis que les textes des auteurs grecs les mieux informés (Hérodote et Ctésias) apportent également des informations exploitables. Les fouilles débutent l'année même, et durent jusqu'en 1917, chantier exceptionnel par sa durée pour l'époque, d'autant plus que les recherches ne s'interrompaient pas une seule fois dans l'année, contrairement aux pratiques actuelles. J.-C. un raid sur Babylone. La ziggurat est peut-être détruite aussi lors de cet événement. L'espace urbain de Babylone est très inégalement connu, les quartiers centraux ayant surtout fait l'objet de fouilles, en premier lieu autour des complexes monumentaux. La déchristianisation du Monde Occidental a laissé la place à un nombre croissant (de lune*) de religions , de croyances en tout genre. Cet édifice, qui comptait sans doute un étage supérieur, avait un plan original, qui résultait sans doute d'une histoire complexe qui n'est pas encore bien comprise, puisqu'il se pourrait que plusieurs des unités qui le composent soient en fait d'époque achéménide[120]. L'exemple le mieux connu des lettrés de l'Esagil est Bérose, qui a composé vers le début du IIIe siècle av. S'il n'y est pas allé lui-même (le problème reste posé), il s'est inspiré de récits antérieurs que nous n'avons plus à l'heure actuelle (Legrand 1956, p. 114-121). On peut estimer que les grands textes exaltant Marduk (l'Épopée de la Création) et l'importance religieuse de la ville (TINTIR=Babilu, Tablette de l'Esagil) sont issus de ce cercle, ainsi que les textes rituels liés au culte du grand dieu babylonien ou encore plusieurs chroniques historiques centrées sur Babylone ou ses temples et le texte sapiental parfois appelé Monologue du juste souffrant, complainte adressée au dieu par un homme frappé d'injustice. Construites en briques d'argile crues, elles mesurent entre 196 m² et 1 914 m² au sol (la surface habitable étant inférieure car il faut enlever l'espace couvert par les murs), avec une surface moyenne située autour de 200 m2. Les fouilles sont moins intenses à partir du déclenchement de la guerre, en 1914, qui appelle de nombreux fouilleurs allemands et locaux sous les drapeaux. Les sources antiques ont fourni la matrice de ces représentations : d'abord les sources provenant de la théologie babylonienne même, faisant de cette ville une cité sainte située au centre du Monde, puis les écrits des auteurs grecs et latins, qui ont laissé l'image d'une ville gigantesque, et enfin les auteurs des textes bibliques, qui l'ont avant tout présentée sous un jour négatif. J.-C.), Babylone devient une puissance capable de rivaliser avec les autres grands royaumes amorrites voisins que sont Larsa, Eshnunna, Isin et Uruk. Nous veillons chaque jour sur cette valeur, en croissance régulière et stable. Ctésias évoque son autre merveille, ses Jardins suspendus, et attribue sa fondation à la reine légendaire Sémiramis. La ville de Babylone est en effet le cadre d'activités économiques diverses servant de base aux affaires de familles de notables, en premier lieu l'agriculture pratiquée sur des champs céréaliers et des palmeraies-jardins situés à l'intérieur des murailles ou dans sa périphérie immédiate[110]. Elles étaient pavées de dalles cuites liées avec du bitume. Les rois suivants voient leur territoire se désagréger sous l'effet de rébellions et d'attaques de peuples ennemis, en premier lieu les Kassites mais aussi les Hourrites, le tout dans un climat de crise agraire. Ils se chargent également de la commercialisation des produits agricoles depuis ces terrains et d'autres situés plus loin, en utilisant le réseau de canaux pour leur transport. La cité, alors bien modeste, n'a pas le prestige de ses voisines du Sud : Nippour, Our, Éridou et Ourouk. C'est peut-être à cette période que le plan de Babylone avec son enceinte principale se fixe, si ce n'est pas déjà fait à la période précédente[35]. La situation s'accélère sous le règne de Teglath-Phalasar III, qui après plusieurs années de luttes réussit à prendre Babylone en 728 av. 1 . Le site de Babylone est au premier rang, vu qu'il est rapidement devenu un symbole de l'Irak dès les débuts de cet État, une statue de lion du site figurant par exemple sur des timbres. Celles-ci se sont poursuivies par la suite en raison du manque d'entretien du site, avant que ne commencent à être mis en place des projets de préservation[11]. C'est cette image de grande cité et de symbole du péché qui s'est développée après la fin de la ville, notamment à la période médiévale, alors que les sources les plus fiables sur ce qu'elle était réellement devenaient inaccessibles. Ce chandelier représente la religion juive », commente Haytham Alkhafaji, l’un des gardiens du sanctuaire, en montrant une menorah peinte sur le mur. J.-C. et emportent à leur tour ses trésors dont la statue de son grand dieu[32]. Cela justifie la présence d'un important personnel cultuel, les erīb bīti, seule catégorie habilitée à pénétrer dans l'espace sacré du sanctuaire et à y accomplir les rituels. Décor de la Voie processionnelle reconstitué au Pergamon Museum. Crimes, complots, passions qui se réveillent et se déchaînent, votre roman navigue entre thriller et saga historique… C.D. Certains textes sont attribués à des auteurs dont le nom renvoie au temple ou au dieu et qui ont manifestement été des prêtres du temple : l'Épopée d'Erra de Kabti-ilani-Marduk, récit cherchant à légitimer la période chaotique que connaît Babylone au début du Ier millénaire av. La vie économique et sociale de la ville transparaît également dans des textes économiques, administratifs et scolaires de cette période[47]. Son successeur Itti-Marduk-balattu doit assurer la poursuite des intérêts de la famille sous la domination perse. Il s'est servi pour cela des tablettes disponibles dans la bibliothèque de l'Esagil. ( Déconnexion /  Le lot le plus important est celui découvert en 1979 dans le temple de Nabû ša harê, ce dieu représentant la sagesse et patronnant les lettrés. Deux autres tablettes rituelles trouvées dans un four indiqueraient la présence d'une bibliothèque propre au temple[152]. Histoire. Discussion sur ce récit et son sens dans M. Ricolleau, A. Vernay-Nouri, « Babylone dans la tradition arabe », dans, F. Richard, « Babylone dans la tradition iranienne », dans, M.-T. Gousset, « Images médiévales de Babylone dans les manuscrits occidentaux », dans, U.S. Department of Defense Legacy Resource Mangement Program (DoDLRMP), Dernière modification le 22 décembre 2020, à 14:25, https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Babylone&oldid=177917521, licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions, comment citer les auteurs et mentionner la licence. La muraille intérieure était composée de deux murs délimitant un espace rectangulaire d'environ 3 kilomètres sur 2, courant sur environ 8 kilomètres[79],[80]. À l'extrémité occidentale du palais Sud, Nabuchodonosor avait fait construire le « bastion Ouest » (allemand Westliche Auswerk) de forme rectangulaire (230 × 110 m) et aux murs très épais (18 à 21 mètres), qui débordait sur le fleuve dont il obstrua le cours, obligeant à un réaménagement du quai[122]. Babylone est vue sous un jour historique : l’exposition remonte aux faits réels qui ont engendré la ville. De ces textes il ressort une image ambiguë de Babylone : celle de la cité honnie, capitale du royaume dominateur et orgueilleux qui a déporté des Judéens et les a contraints aux douleurs de l'exil et à la mélancolie du pays d'origine « sur les bords de fleuves de Babylone » (Psaume 137). Quand le roi des Perses Cyrus II attaque Babylone en 539 av. J.-C., sous Burna-Buriash Ier et surtout ses successeurs Ulam-Buriash et Agum III[28]. Ce terme originel aurait alors été interprété (en raison de la proximité phonétique) par les locuteurs de l'akkadien peuplant la ville comme signifiant « Porte du Dieu », puisqu'il apparaît couramment dans les textes les plus anciens en logogrammes sumériens, sous la forme KÁ.DINGIR ou KÁ.DINGIR.RA, qui a le même sens (KÁ « Porte », DINGIR « Dieu », -A étant la marque du génitif) et en est donc une traduction et non pas une simple transposition phonétique comme pour les autres adaptations du mot dans d'autres langues[13]. Le Ier millénaire av. Ils ont été recherchés dans le secteur palatial du Kasr à la suite des textes les décrivant, en privilégiant les constructions aux murs épais, propres à supporter les lourds jardins, et les édifices aux fonctions mal identifiées[128]. Les tombes sont alors pour la plupart en fosse[114]. Quoi qu'il en soit, c'est manifestement une ville très peuplée entre la période néo-babylonienne et le début de la période achéménide, qui peut être vue comme la première « mégapole » de l'histoire[68], débordante d'activité, qui a frappé l'imagination des témoins extérieurs. Huit d'entre eux ont été fouillés et identifiés dans la partie occidentale de la ville intérieure, hors du complexe principal. J.-C.), voit Babylone confirmer durablement son rang de capitale de la Mésopotamie méridionale, notamment parce qu'elle devient un grand centre religieux en plus d'un centre politique, sous les dynasties kassite et d'Isin II. J.-C.) recensant les diverses plantes qui poussaient dans un d'entre eux, provenant parfois de régions lointaines[132]. Le clergé de l'Esagil, sans doute appuyé par le pouvoir royal, a progressivement élevé le dieu Marduk au rang de principal dieu du panthéon mésopotamien grâce à une production théologique impressionnante. Cette dernière représenterait le centre du monde à l'endroit où il a été créé et où sont reliés le Ciel et la Terre (c'est la signification de son nom). La cella de Marduk était richement décorée et pourvue en offrandes nombreuses, et sa statue, censée être habitée par le dieu en personne, était sculptée dans du bois précieux et parée de vêtements et de bijoux riches. Babylone apparaît également dans des livres de la Bible plus en rapport avec sa réalité historique, notamment le Deuxième Livre des Rois qui raconte les victoires de son roi Nabuchodonosor II sur le Royaume de Juda, et le Livre de Jérémie qui prend place durant les mêmes événements, évoquant le début de la déportation en Babylonie. Les enjeux politiques se mêlent donc à des enjeux touristiques, et Babylone doit (à nouveau) servir de lieu de manifestation du pouvoir : les murs de certains monuments sont restaurés, une partie des murailles, avec la porte d'Ishtar, et certains bâtiments sont remaniés, comme le palais Sud dont la salle du trône est adaptée pour pouvoir servir lors de concerts et de réceptions ou le théâtre grec qui est doté de 2 500 places pour servir lors de spectacles (par exemple une pièce de théâtre adaptant l’Épopée de Gilgamesh).

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