Aux quelques endroits vierges de toute sculpture, les traces de coups de ciseau montrent que le bloc avait été préparé avant d'être mis en place[35],[36]. Il pourrait avoir dessiné les parties les plus importantes et les plus complexes (les côtés nord et est) et donné des indications à un assistant pour les parties moins visibles et moins significatives (le sud et l'ouest). À l'ouest, la plaque de référence est celle du coin nord-ouest (magistrat) numérotée I, jusqu'à XVI au coin sud-ouest. Phidias, peintre de formation, avait travaillé à Olympie avec Panénos. Les monuments se sont donc détériorés. ), à moins que Carrey ait mal représenté la caisse de résonance des lyres[48],[62],[65],[29],[66],[68],[69]. Hermès porte les signes du voyageur : manteau, bottes et pétase sur les genoux ; le caducée qu'il avait en main était en métal et a disparu, il ne subsiste que le trou dans la sculpture où il s'adaptait. Les outils utilisés sont, plus ou moins, les mêmes que ceux qui seraient employés de nos jours : pointes et perceuses[N 3] pour dégauchir et créer des zones profondes comme celles de l'intérieur des roues des chars, ciseaux à dents et ciseaux plats pour le travail principal, râpes, abrasifs (probablement de l'émeri et des pierres ponces) et toujours les perceuses pour les finitions. Les traces de levier montrent que les blocs externes ont été installés en premier, puis les blocs centraux et enfin les blocs intermédiaires[35]. Elle est aussi connue par des gravures. La frise eut évidemment une influence directe sur les frises sculptées dans les années qui suivirent, en premier lieu celle de l'Héphaïstéion (dit « Théséion »), construit à peu près en même temps. Elle est formée par des plaques de marbre de 1,22 m de hauteur et 7 cm d'épaisseur. L'illusion de la perspective est due à la profondeur du bas-relief qui s'accentue selon l'éloignement du cheval. Il s'agit d'une frise ionique sur un bâtiment dorique[16],[19]. Elle est directement attribuée à un sculpteur du Parthénon, pour la technique de la foreuse et parce que les deux personnages ressemblent à deux de la frise nord (Nord 135 et 136). Il veut y voir le symbole de la domination politique athénienne sur diverses cités ioniennes dans le cadre de la ligue de Délos. Monuments - Parthénon • Érechthéion • Frise des Panathénées J.-C., il est attribué à un sculpteur ayant travaillé sur le Parthénon, ou au moins formé en Attique. Là-bas, ils ont été préparés aux dimensions nécessaires avant d'être transportés et mis en place au-dessus de l'architrave ou en haut des murs du sékos pour les côtés[22]. Dès 1892, A. H. Smith[Article 25] avait suggéré cette organisation. Cependant, elle est encore discutée : ainsi, en 1981, Brunilde Ridgway[Article 26] considère que c'est chacun des deux groupes de dieux qui est organisé en demi-cercle[76]. J.-C., la réponse devait être évidente : les marathonomaques, les Athéniens tombés à Marathon et enterrés sur place, sous un tumulus, où des signes de culte héroïque ont été retrouvés. L'interprétation la plus couramment acceptée est que les dieux sont installés comme sur les gradins d'un théâtre, en demi-cercle, dominant les deux actions qui se déroulent à leurs pieds[75],[76],[77]. Pressé par les problèmes financiers[N 35], Lord Elgin n'avait plus les moyens de conserver sa collection qu'il avait déjà tenté, sans succès, de vendre à l'État britannique en 1803[158]. La frise est représentée dans les dessins qu'il en a faits[16],[88],[89]. Ce que les figures Est 31 et 32 portent sur le tabouret serait alors aussi leur suaire. Ainsi, le bâtiment du Club Athenaeum dessiné par Decimus Burton (1827-1830) est orné d'une reproduction fidèle de la frise sur fond bleu (influence Wedgwood). Les historiens et archéologues ont proposé, autour de cette procession des Panathénées, des interprétations différentes. Pourtant, ce détail est difficilement visible à la hauteur où se trouve la frise. LE PROBLÈME DE LA FRISE DU PARTHENON 209. détails du sujet. J.-C. Les cultes païens sont interdits par Théodose. La procession arrive du côté est où elle est accueillie par les dieux. Elle remplacerait toutes les statues brisées, comme le Parthénon remplacerait le pré-Parthénon brûlé. De ce côté est, les longueurs varient de 1,26 mètre à 4,43 mètres. Cela diffère des représentations traditionnelles, où le nu masculin est la règle. Cependant, Xénophon (dans Le Banquet, IV, 17) évoque des hommes portant des branches d'olivier et il précise que ces thallophores sont choisis parmi les « beaux vieillards ». L'interprétation la plus courante pour cette scène centrale est donc qu'il s'agit de la remise du péplos. Les traces d'outils ont presque toutes été effacées ensuite. Cependant, cela signifierait aussi que la procession n'arriverait pas sur l'Acropole, mais à l'autel des Douze Dieux sur l'Agora[114]. John Boardman[Article 18] pense que la figure masculine reçoit le péplos et qu'il n'est nullement question de pliage ou dépliage[110]. Frises du Parthénon: la médiation d'abord, les tribunaux ensuite, … L'interprétation la plus courante est alors que ces dix restant sont les héros éponymes utilisés pour nommer les dix nouvelles tribus créées par Clisthène. Pour le sékos du Parthénon, hexastyle, cela signifiait au moins dix métopes (cinq de chaque côté au-dessus des porches). À cette époque, un sculpteur fit même un modèle réduit de la frise[183]. Cette dernière montre à son fils Éros la procession qui s'approche[N 14]. Anthony Raubitscheck[Article 14] considère que les douze figures masculines appartiennent toutes au même groupe. La frise commence sur le côté ouest du Parthénon. Ainsi, des négociations se déroulèrent entre 1834 et 1842 lorsque le roi Othon tenta de les racheter[164]. La première description littéraire du décor sculpté du Parthénon a été écrite par Pausanias au II siècle apr. Leurs tenues et attitudes font qu'elles sont identifiées comme des membres de la bonne société athénienne de l'époque. Depuis, le gouvernement grec exige régulièrement la restitution de la frise du Parthénon, et avance deux arguments : le premier fait valoir que tout État doit pouvoir être propriétaire d'un élément essentiel de son patrimoine culturel ou historique ; le second, que la frise a été achetée au gouvernement ottoman, qui ne représentait pas le peuple grec[165],[166]. Il a alors reculé la tête du cheval et dissimulé l'erreur dans les plis de la chlamyde du cavalier Nord 129. À l'aide de la littérature antique, il est possible d'identifier les divers personnages présents sur la frise. Édification du bâtiment. John Boardman[Article 29] considère qu'elle complexifie trop les choses pour le public visé par l'œuvre[116]. La moitié de la frise (cinquante-six plaques) est conservée à Londres au British Museum ; un tiers (quarante plaques) est à Athènes, au musée de l'Acropole ; le reste est conservé dans divers autres musées européens : une plaque complète au Louvre, des fragments au Vatican, à Vienne (deux têtes de thallopores) et à Heidelberg. J.-C. Lors de la transformation du Parthénon en église chrétienne, les têtes de Il y a au total 115 plaques. Au nord, un enfant (Est 35) et un homme tiennent une pièce de tissu pliée. Cette frise sud étant moins vue, les analystes présument que des artistes moins doués y ont été délibérément employés. Cette présence des dieux parmi les mortels est la theoxenia (le fait de recevoir les dieux chez soi), très répandue dans la mythologie grecque et donc dans les cérémonies religieuses[78]. Cet objet a été identifié comme un long fouet, lié à la présence des chevaux, ou bien comme un kerykeion (bâton de magistrat) ou encore comme une salpinx (sorte de trompette). Le plus souvent, la figure féminine la plus âgée est identifiée comme la prêtresse d'Athéna, et l'homme comme l'archonte-basiléus (le magistrat athénien chargé des affaires religieuses). Elles s'approchent d'une femme qui leur fait face, au centre. J.-C. pour réaliser sur le sanctuaire un monument commémorant la victoire athénienne de Marathon. La source ne précise pas de quel côté elle provient. Il n'existe pas de description de la frise, contemporaine de sa réalisation, qui pourrait aussi en donner une interprétation définitive. Des archéologues et spécialistes de l'art antique contestent que la frise ait été sculptée au sommet des murs[Article 5],[35]. (, Dans la céramique attique, ce geste est aussi simplement celui de l'attente. Auguste en majesté rappelant le Zeus de la frise est.Kunsthistorisches Museum. Personnages représentés sur le côté ouest: des cavaliers (jeunes gens des familles nobles d'Athènes) ; personnages représentés sur le côté nord (en allant de l'ouest vers l'est): des cavaliers; des chars conduits par une femme (Victoire ailée ou représentation symbolique d'une des dix tribus de l'Attique); un chœur d'hommes; un groupe de porteurs d'outres en cuir; des porteurs (. D'autres auteurs, Adolf Michaelis en premier qui dès 1871 parle de « Knabe[N 19] », ou comme Jenifer Neils, considèrent qu'il pourrait au contraire s'agir d'un jeune garçon : aucune figure féminine sur la frise (et dans l'Athènes du Ve siècle av. L'ouvrage "Le Parthénon, un monument dans l'histoire de François Queyrel" retrace la construction et la vie du Parthénon depuis ses origines jusqu'à nos jours, et propose une analyse hypothétique de la symbolique du monument basée sur les détails de sa constitution ainsi que sur le contexte historique et religieux dans lequel il naquit et évolua. Les chevaux et leurs attitudes sont tous différenciés. Les autres figures masculines sont plus proches des dieux. Il est composé de deux pièces : le naos et la salle du trésor. entre 443 et 438 avant J.-C. Frise des Panathénées, bandeau de marbre sculpté couronnant le mur du naos du Parthénon à Athènes. P. E. Corbett[Article 19] considère qu'il s'agit d'un défaut[75],[76]. Ainsi, l'homme avec une tablette à la main du côté sud de la frise ouest serait le dokimasia, l'inspecteur des chevaux s'apprêtant à prendre part à la procession[N 17]. L'âge des personnes est aussi signifié, avec un corps un peu plus « lourd ». Au total, elle représente 378 personnes et 245 animaux (227 chevaux ainsi que 14 bovins et 4 ovins pour le sacrifice)[46],[19]. La pièce de tissu serait alors le péplos[74],[81],[62],[90],[87],[108]. Il pourrait s'agir d'une sorte de signature de la part du sculpteur[32]. Londres. Le sékos en lui-même a une largeur de 19 mètres[7]. En août 1800, l'équipe d'artistes (peintres, graveurs, mouleurs) engagée par Lord Elgin, ambassadeur britannique auprès du gouvernement ottoman, arriva à Athènes. En revanche, tout au long de la frise se trouvent des hommes à pied, ceux aux coins par exemple, qui pourraient être ces athlothètes. Ce type de procession peinte était assez populaire dans l'Attique de l'époque, depuis les vases jusqu'aux œuvres de grande taille qui ont toutes disparu. On retrouve ce motif jusque sur la base du groupe statuaire de Domitius Ahenobarbus au IIe siècle ap. Céramique - Céramique grecque antique. Elle devait donc être difficile à voir et devait apparaître déformée au spectateur qui la contemplait par en dessous. La question de la restitution des « marbres d'Elgin » se posa alors sérieusement, même si le Prince-Régent y était opposé. La frise suscita aussi des parodies, comme le cratère attribué à Pollion et intitulé Chanteurs aux Panathénées[N 41] (vers 420 av. Le naos est la salle dans laquelle est déposée la statue de la déesse. De plus, cette interprétation disjoint la scène centrale du reste de la frise, en opérant une sorte de retour dans le temps, car lors de ce sacrifice il n'y avait pas encore de Panathénées ni de procession. Un tiers des côtés sud et nord de la frise fut ensuite enlevé. La plaque Ouest II représente deux jeunes hommes à cheval dont le premier se retourne et fait un geste avec la main au-dessus de la tête. Érechtée consulte l'oracle de Delphes, lequel répond qu'il doit sacrifier l'une de ses filles. À partir de 556 av. Au début des années 1810, les travaux de l'équipe d'Elgin sur le Parthénon furent dénoncés comme des déprédations[N 32], principalement par le grand poète alors à la mode, Lord Byron[N 33], mais aussi par Edward Daniel Clarke qui publia le récit de voyage le plus populaire de l'époque[N 34], ou par l'archéologue Edward Dodwell[157]. La frise est restée très peu connue en Occident jusqu'à son arrivée au British Museum au début du XIXe siècle. Diverses applications en métal venaient compléter le marbre (comme la lance d'Arèspar exemple). Là, apparaissent pour la première fois des figures féminines. Elle fut offerte au British Museum en 1840 par son propriétaire[135]. Les visages sont très peu expressifs, voire sans expression, même si cela pourrait signifier leur recueillement religieux[54]. Sackler Museum, Université d'Harvard, 1959.129. Elles ont permis la sculpture minutieuse des multiples plis des draperies et des espaces entre les doigts et orteils mais, aussi, à percer les trous. Dans ce cas cependant, il semblerait que ce furent plutôt les dessins de Stuart et Revett qui furent copiés et non les marbres eux-mêmes[181]. Pour lui, la frise serait le symbole du renouveau religieux et civique après les destructions des guerres médiques. La frise dépeindrait le sacrifice des filles du roi légendaire Érechthée pour sauver Athènes, menacée par Éleusis allié au roi de Thrace, Eumolpos. Un des jeunes hommes est presque nu (convention artistique répétée régulièrement tout au long de la frise), simplement vêtu d'une chlamyde attachée au cou et flottant derrière lui. Le double cortège pourrait, selon Burkhardt Wesenberg[Article 10], être le symbole des Panathénées anciennes, au nord, du temps des quatre tribus et des Panathénées nouvelles, au sud, depuis les réformes de Clisthène et l'institution des dix tribus[14],[100]. Il semblerait que la frise présentait toute la société de la cité d'Athènes qui pouvait facilement s'y reconnaître, à l'un des moments les plus importants de la vie civique et religieuse : la célébration de la fête religieuse la plus importante en l'honneur de la déesse tutélaire de cette même cité[92],[93]. La frise du Parthénon ou frise des Panathénées est une frise ionique de 160 mètres de long. Lorsque la procession quitte les côtés nord et sud pour arriver à l'est, le rythme représenté semble se ralentir ; pour la première fois, des figures féminines apparaissent ; les animaux disparaissent[62],[70],[71],[72],[73]. Cela lui permet d'identifier Hébé. Ce bâtiment nouveau ne fut jamais un temple, mais un trésor destiné à accueillir la colossale statue chryséléphantine d'Athéna Parthénos[1]. Pourtant, l'action sculptée est sujette à controverses. L'organisation spatiale des dieux (ils tournent le dos à la remise du péplos et font face à la procession) permet elle aussi des interprétations plus subtiles. Les plaques sont accrochées au mur par des agrafes de métal. Le Parthénon est un bâtiment dorique, périptère, et octostyle, construit sur une crépis à trois degrés de 0,55 m de chacun. J.-C. par Exékias[N 7] représentent une procession de cavaliers et chars. En 480 av. Les blocs ont été extraits d'une carrière à 19 km de l'Acropole. Les différences de style sont telles sur cette plaque qu'elle a dû être sculptée par plusieurs artistes. De plus, l'usage de la couleur rendait la frise plus visible[15],[25],[24],[22],[35]. Ils seraient donc représentés à la fois en train de participer à la procession et d'être héroïsés[104],[90],[111],[113]. A. W. Lawrence en 1951[Article 6] et Margaret Root en 1985[Article 7] considèrent qu'il pourrait y avoir un lien avec la frise du palais de Darius à Persépolis. J.-C.) Villa Getty. Quant au British Museum, il répond que les éléments de la frise font partie du patrimoine mondial et qu'elles sont plus accessibles au public à Londres qu'à Athènes[167],[168],[166]. Comme la procession partait du Dipylon (avec deux portes donc), on pouvait l'imaginer avec deux cortèges au départ, se rejoignant ensuite : d'où une frise nord et une frise sud. De là découlent les controverses. Zeus est assis à la place d'honneur de ce côté, non pas sur un banc, comme les autres divinités, mais sur un trône (avec dossier et accoudoirs soutenus par un sphinx). Villa Farnesina. Sculptée dans des plaques de marbre, par Phidias au Ve siècle av. Enfin, pour rompre le rythme, un magistrat est placé à intervalles irréguliers le long de la frise / procession[52]. Son successeur pourrait être une célébration de toutes les victoires contre les Perses (Marathon, Artémision, Salamine, Platées, le cap Mycale et l'Eurymédon). Erika Simon propose que la procession nord soit en l'hommage d'Athéna Polias et celle du sud en l'hommage d'Athéna Parthénos[65],[66],[100]. Il y aurait donc quatre magistrats du côté nord de la frise est. Les plaques de la moitié sud de ce côté ouest représentent six chevaux sans cavalier et des hommes à pied, le tout sous la supervision d'un homme qui tient une tablette à la main. Elle est sculptée en très bas-relief : en moyenne, 5,5 cm d'épaisseur[17],[18],[19]. Pour nombre d'auteurs[Article 23], si les dieux tournent le dos à la remise du péplos, c'est qu'en fait ce n'est pas la remise du péplos mais le moment où l'ancien péplos est plié avant d'être rangé, ce qui est donc moins intéressant ; voire[Article 24] que le tissu n'est pas le péplos, mais un autre vêtement pour la statue d'Athéna[76]. Elle a pu aussi être assimilée dans l'idéologie augustéenne comme modèle civique pour la société de son temps[178]. J.-C.) ne montre ses chevilles. J.-C. et rappelant la frise, ont été produits par Polygnote et son atelier, par le peintre de Cléophon ou le peintre d'Achille. La procession part du côté ouest où sont représentés les préparatifs. Une tragédie perdue d'Euripide, Érechthée, dont on a publié en 1967 cent cinquante lignes retrouvées dans un cartonnage de momie, avait ce mythe pour sujet. Les deux personnages adultes de cette scène centrale se tournent le dos : certains auteurs[Article 10] ont donc suggéré que deux cérémonies différentes pouvaient se dérouler[84]. Le groupe à pied était composé de seize hommes âgés, de huit musiciens jouant de la lyre et de l'aulos, de quatre jeunes gens portant des hydries (hydriaphoroi) ou des plateaux d'offrandes (skaphephoroi), ainsi que du bétail (quatre génisses et quatre brebis) destiné au sacrifice[36],[48],[65],[66]. Sarcophage « lycien » (vers 400 - 375 av. Les « Ergastines » (« tisseuses »), frise est, côté sud (British Museum). Ces personnages pourraient même être plus grands que les autres humains de la frise puisque leur tête est au même niveau (isocéphalie) alors qu'ils sont parfois penchés, appuyés sur un bâton[Article 15]. Il devait tenir un sceptre dans la main droite[62],[74],[81],[77],[82],[75],[80],[83]. Les dieux sont assez facilement identifiables. De plus, des hydraphoroi masculins sont parfois représentés sur des vases attiques. Dès son achèvement, la frise eut une importante influence dans l'art. Aucun texte antique expliquant ce que la frise représente ne nous est parvenu. La cavalcade est ainsi divisée en rangs, avec un chef de file (le cavalier de tête), celui sculpté devant sur les deux plans : devant les autres cavaliers dans le sens de la marche et devant les autres cavaliers sur la profondeur de la frise sculptée. Premiers cavaliers, frise ouest (British Museum), Premiers cavaliers, frise nord (British Museum), Quadriges, frise nord.Dessin attribué à Jacques Carrey (1674), Cavaliers (plaque III), frise sud (British Museum), Char avec apobátês, frise sud (British Museum), Génisse menée au sacrifice, agitée, frise sud (British Museum).

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