La mosquée fut rasée en 1843, au moment du début des grandes fouilles de l'Acropole[61]. J.-C. et plus tard, le bâtiment fut appelé Hekatompedos ou le Hekatompedon ainsi que le Parthénon. Le premier et le plus simple des trois ordres de l'architecture grecque ancienne (cf. J.-C., on créa pour sa décoration trois ensembles de sculptures, les métopes, la frise ionique et les frontons. De nombreux chars pour les apobatai (pluriel d'ἀποϐάτης / apobátês) sont aussi présents. Ce matériau fragile et sujet à dessiccation était entretenu à l'aide d'une eau huilée qu'on laissait à disposition dans un bassin, au pied de la statue. Les métopes détruites ne nous sont connues que par les dessins attribués à Jacques Carrey (1674) et par quelques fragments parvenus jusqu'à nous. Ceux qui l'employèrent les premiers « mesurèrent, dit Vitruve, le pied d'un homme, et, trouvant qu'il était la sixième partie de la hauteur du corps, ils appliquèrent à leurs colonnes cette proportion : quel que fût le diamètre de la colonne à son pied, ils donnèrent à la tige, y compris le chapiteau, une hauteur égale à six fois ce diamètre ». Le décor de la frise dorique met en scène des combats mythologiques destinés à manifester la supériorité des Athéniens face aux Perses. Le Parthénon avait en fait deux frises. Les métopes illustre plusieurs scènes : à l’est une Gigantomachie (combat de géants), au sud une centauromachie (combat de centaures) , à l’ouest une amazonomachie (combat d’amazones) et au nord la chute de Troie. Le Parthénon est un bâtiment dorique, périptère, amphiprostyle et octostyle, construit sur un stylobate à trois degrés. De même, toujours dans ce souci d'atteindre la perfection visuelle, aucun des blocs de marbre constituant les murs n'était rigoureusement parallélépipédique. J.-C. ; les portes furent terminées en 440-439 av. Le Parthénon a été édifié à la gloire de la cité et de la déesse Athéna entre 447 et 432 av. La courbe de l'abside accueille le synthronon, avec un trône central pour l'évêque métropolite. Vitruve attribue son invention à Dorus (Doros), fils d'Hellénos[2]. Un exonarthex fut installé dans l'opisthodome, à l'ouest, fermé par des plaques posées entre les colonnes. Elle entourait le sékos (partie fermée) du Parthénon sur l’Acropole d’Athènes. Les travaux sur les frontons se sont échelonnés de -438 à -432, et les sculptures des frontons du Parthénon figurent parmi les plus beaux exemples de l'art grec classique. Transformé en église au vie s., il devient mosquée sous les Turcs au xve s., puis poudrière, et en 1687, lors du siège d'Athènes par Morosini, il explosa. Or, dans l'état actuel de la discussion, la frise du Parthenon, cataloguée comme une frise ionique insérée dans une ordonnance dorique, n'est encore pourvue que d'un état civil irrégulier. Donc, la conversion pourrait dater du règne de l'un de ces empereurs. Chaque triglyphe tombe à l'aplomb du milieu de chaque colonne et du milieu de chaque entrecolonnement, excepté le triglyphe de chaque extrémité, qui se trouve rapporté à l'angle de l'entablement. La frise dorique du Parthénon est constituée de 92 métopes (plaques de marbre sculptées carrées). Le siège épiscopal aurait alors été déplacé sur l'Acropole, plus sûre. J-C La sculpture grecque classique représente la procession des Grandes Panathénées qui ont lieu tout les 4 … » Il implique ainsi que le métal, obtenu par la fonte de monnaies contemporaines[41], peut être réutilisé sans risque d'impiété[39]. J.-C., la structure s'appelle simplement « ho naos » (« le temple »). 2 min . Les deux niveaux furent dorénavant d'ordre dorique et les colonnes du premier niveau n'étaient plus cannelées. Les métopes et la frise ionique faisaient partie de la structure même du Parthénon. Ce fut le système d'architecture que les Grecs employèrent dans le plus grand nombre de leurs monuments. Le Parthénon — grec ancien : Ὁ Παρθενών / Parthenṓn (à l'origine génitif pluriel de παρθένος, nom féminin, « jeune fille, vierge »), littéralement « la « salle » ou la « demeure » des vierges » —, est un temple grec, situé sur l'Acropole d'Athènes, dédié à la déesse Athéna, que les Athéniens considéraient comme la patronne de leur cité. Cependant, un plancher de bois fut installé entre les deux niveaux de colonnes pour créer une galerie. Ce qui le caractérise, c'est l'absence de base : la colonne repose directement sur le soubassement général. Bury[8], Jamauri D. Green soutiennent que le Parthénon était la pièce dans laquelle le peplos était présenté à Athéna lors des Panathénées, robes tissées par l'arrephoroi, un groupe de quatre jeunes filles choisies pour servir Athéna chaque année[9]. L'ordre dorique peut être considéré comme l'ordre par excellence, celui dont les autres ordres ne sont que des émanations. souhaitée]. La colonnade extérieure (péristasis) est octostyle et non hexastyle, comme c'est l'usage à l'époque. La frise du Parthénon ou « frise des Panathénées » est une frise ionique (sur un bâtiment dorique) en marbre du Pentélique de 160 mètres de long représentant 378 figures humaines et 245 animaux. L'ordre dorique est l'ordre par excellence, celui dont les autres ordres ne sont que des émanations. Les métopes du côté sud (I-XII et XXI-XXXVII), à l'exception des problématiques métopes XIII-XX aujourd'hui perdues, montrent la Centauromachie ou combat des Lapithes et des Centaures (combat mythique des Lapithes aidés par Thésée contre les Centaures, mi-hommes, mi-chevaux, en Thessalie). L'entablement dorique. Le bombardement vénitien de 1687 a gravement endommagé nombre de métopes du côté sud, surtout au centre du mur. « The Parthenon (Plate 1, Fig. La frise du Parthénon ou « frise des Panathénées » est une frise ionique (sur un bâtiment dorique) en marbre du Pentélique de 160 mètres de long représentant 378 figures humaines et 245 animaux. L’oeuvre ! Lorsque le Parthénon fut construit, entre 447 et 432 av. Les métopes et la frise ionique faisaient partie de la structure même du Parthénon. Si l'on suppose que la frise représente cette légende : Selon J.B. Connelly, cette proposition permet également d'expliquer la présence des dieux olympiens et la juxtaposition des éléments du sacrifice. La frise du Parthénon est ornée de bas-reliefs. L'origine du nom du Parthénon provient du mot grec παρθενών (parthénon), qui fait référence aux « appartements pour femmes célibataires » dans une maison et dans le cas du Parthénon semble avoir été utilisé au début uniquement pour une pièce particulière du temple[7]. Enfin, les colonnes elles-mêmes sont modifiées pour ces raisons optiques : les colonnes d'angles sont plus épaisses pour éviter de paraître trop minces si elles se détachaient sur le vide et ont une inclinaison diagonale accrue (10 cm) de manière à prévenir les poussées plus fortes qui s'exercent sur elles[28]. Elle évoque une légende connue grâce aux bribes d'une pièce d'Euripide retrouvées sur un morceau de papyrus. Il subsiste aujourd'hui dans l'exonarthex une Vierge à l'enfant sur un trône, adorée par des anges, peinte directement sur le marbre, dans les tons rouge sombre. La tour-clocher fut transformée en minaret. Du fait que le Parthénon était dédié à la déesse grecque Athéna, il a parfois été appelé, en particulier au XIXe siècle, temple de Minerve, nom romain d’Athéna. La frise du Parthénon, 160 m de marbre sculpté au Ve siècle avant notre ère parait la partie intérieure du monument jusquâ au début du XIXe siècle quand Thomas Bruce, plus connu sous son titre de Lord Elgin, lâ a méthodiquement démontée et transportée à Londres où elle se trouve toujours. Une autre hypothèse attribue la destruction aux Wisigoths d'Alaric vers 395-396 et la restauration au proconsul d'Illyrie Herculius entre 402 et 410, dont la statue fut érigée à côté de l'Athéna Promachos. Selon cette théorie, le nom du Parthénon signifierait « le temple de la déesse vierge » et fait référence au culte d'Athéna Parthénos qui était associé au temple. Il fallut cependant certainement dégager de la place, en disposant des offrandes qui s'étaient à nouveau accumulées. Sans doute elle est définitivement classée parmi les chefs-d'œuvre ; mais cette inscription honorifique ne suffit pas à lui conférer une personnalité archéologiquement normale. Ce détournement sera d'ailleurs dénoncé par les autres cités-États membres de la ligue de Délos. Le lexique grec-anglais de Liddell–Scott–Jones indique que cette salle était la cella occidentale du Parthénon, J. Sa nef centrale a une portée de onze mètres, encore jamais atteinte à l'époque ; ses étroites nefs latérales sont éclairées par deux fenêtres (9,75 × 4,20 m) de part et d’autre de la porte d’entrée, qui éclaire l’espace central. Le bâtiment est peu modifié à cette époque, d'abord parce que Mehmet II admirait les monuments antiques et voulait qu'ils soient respectés. Les colonnes doriques se caractérisent notamment par leur chapiteau à échine plate (nue, sans décors), par leur fût orné de 20 canelures et par l'absence de base (pour le dorique grec) ; la frise dorique se caractéries par ses triglyphes et ses métopes. Dès le lendemain de son indépendance en 1830, la Grèce réclame le rapatriement des « marbres d’Elgin ». En 1806, l'Empire Ottoman offre au diplomate britannique Lord Elgin un ensemble comprenant 12 statues, 156 dalles de la frise du Parthénon, 15 métopes (la frise du temple d'Athéna Niké qui jouxte le Parthénon), et une cariatide servant de pilier en remerciement de son soutien contre les Français en Egypte ; au total la moitié des ornements du Panthéon. J.-C. Il est donc probable que le Parthénon fut terminé l'année suivante, en 432 av. Périclès et Phidias y auraient été inclus en tant que personnages, ce qui, pour l'époque, a pu passer pour scandaleux, l'art religieux devant rester anonyme et ne pas glorifier ses auteurs[réf. Ces frises, représentant des batailles mythiques entre les Grecs et des centaures, ont été extraites sur le site du Parthénon au début du XIX e siècle par le diplomate britannique Lord Elgin. Ainsi fut fait, et de la tête de Zeus sauta la déesse Athéna toute armée : en s'élançant, elle poussa un cri de guerre dont retentirent le ciel et la terre[31]. Paris, musee du Louvre (PHOTO JOSSE / Leemage) Le morceau de frise, a précisé le Louvre, avait été trouvé au pied du Parthénon en 1788 par … La frise du Parthénon ou frise des Panathénées est une frise ionique de 160 mètres de long qui entourait la cella du Parthénon à Athènes.Chef-d'œuvre de la sculpture grecque classique, elle représente probablement la procession des Grandes Panathénées, qui a … Elle est dessinée selon un plan rigoureusement dorique et compte 46 colonnes, chacune composée de 10 à 12 tambours de 20 cannelures chacun. Une arche de briques fut construite pour soutenir le fronton ouest. Il est construit à partir de pierres de réemploi et n'a pas de minaret. Ainsi, dans le courant du XIXe siècle, de nombreuses nations occidentales s'en inspirèrent pour héberger leurs institutions politiques — parlements, assemblées ou palais de justice — mais aussi leurs institutions culturelles — bibliothèques, universités ou musées — ou encore leurs institutions financières, comme les sièges de banques ou les bourses. Si le culte rendu à la déesse avait habituellement lieu dans l'ancien temple d'Athéna de l'Acropole, qui abritait un xoanon représentant Athéna Polias, le Parthénon fut spécialement consacré à la déesse Athéna Parthénos[5], protectrice de la cité et déesse de la guerre et de la sagesse. le dorique. Le nombre de cannelures du fût varie de seize à vingt-quatre. Elle est formée par des plaques de marbre de 1,22 m de hauteur et 7 cm d'épaisseur. Certaines ressemblances sont indéniables ; mais c'est en Grèce seulement que l'ordre dorique a été appliqué, bien qu'il subsiste quelques monuments pseudo-doriques en Égypte. De nombreuses sculptures sont gravement endommagées, tant par l'explosion que par les tentatives de Francesco Morosini de s'emparer des statues d'Athéna et de Poséidon en guise de récompense sur le fronton ouest qui tombe et se brise sur le coup à cause de la non-expertise de ses hommes[58],[60]. Des rigoles y furent donc creusées pour évacuer l'eau de pluie[43]. J.-C. Dans les comptes du Ve siècle av. Les restaurations en septembre 2012 mettent en évidence les pierres restaurées par remplacement par des pierres blanches afin de les distinguer des éléments d’origine. Les métopes conservent des traits du style sévère dans les visages et dans la limitation aux contours des détails corporels, sans indication des muscles, mais avec des veines saillantes bien visibles sur les personnages de la Centauromachie. Termes clefs stylobate : dans l’architecture grecque classique, un stylobate est la marche supérieure d’une plate-forme en gradins sur laquelle sont placées des colonnades de colonnes de temple. Elle entourait le sékos (partie fermée) du Parthénon sur l’Acropole d’Athènes. Enfin, la frise y a échappé, peut-être parce qu'elle était difficilement accessible, et peu visible[47],[49]. Le Parthénon est une magnifique construction d’ordre dorique périptère, en marbre pentélique. La hauteur de la colonne, comparée au diamètre inférieur, varie entre 4 et 5 diamètres 3/4 ; la dimension des entrecolonnements est de 1 diamètre environ ; le rapport de l'entablement à la colonne est à peu près de 1 à 3 ; la hauteur de l'architrave est généralement de 3/4 de diamètre ; celle de la frise, de un diamètre ; celle de la corniche, d'1/4 de diamètre ; celle du chapiteau, y compris l'échine, le tailloir et les filets, d'1/2 diamètre. La frise du Parthénon ou « frise des Panathénées » est une frise ionique (sur un bâtiment dorique) en marbre du Pentélique de 160 mètres de long représentant 378 figures humaines et 245 animaux. On ne peut déterminer avec certitudes ce qu'elles représentaient, probablement des scènes de mythes attiques, à mettre en rapport avec la Centauromachie déjà mentionnée. La nouvelle mosquée est même construite à l'intérieur de l'ancienne mosquée. Il a également été suggéré que le nom du temple fait allusion aux demoiselles (parthenoi), dont le sacrifice suprême garantissait la sécurité de la ville. En 1456, Athènes est conquise par les Ottomans qui transforment le Parthénon-église en mosquée, dès avant 1460, peut-être au moment de la seconde visite du sultan Mehmet II dans la ville. Cette statue d’or et d’ivoire d’environ 12 mètres de hauteur ne faisait pas l’objet d’un rite, mais constituait un fabuleux ex-voto offert par les Athéniens à leur déesse en reconnaissance de sa protection et de ses bienfaits. Le péristyle extérieur resta sans toit, mais fut fermé par des murets percés à intervalles réguliers de portes et fenêtres[48]. Le Parthénon a été conçu comme le trésor destiné à accueillir la statue colossale d'Athéna Parthénos[42], œuvre de Phidias, et les réserves de métal monnayé d'Athènes et le trésor de la Ligue de Délos, initialement constitué pour financer la guerre en cas d'attaque perse[6], mais en partie utilisé par Périclès, stratège d'Athènes, pour construire le Parthénon lui-même et embellir la cité. Les colonnes doriques se caractérisent notamment par leur chapiteau à échine plate (nue, sans décors), par leur fût orné de 20 cannelures et par l'absence de base (pour le dorique grec) ; la frise dorique se caractérise par ses triglyphes et ses métopes. Ce n'est qu'au Xe siècle que le Parthénon est de façon attestée devenu une église dédiée à la Vierge Marie. J.-C., dans l'Athènes classique dominée par Périclès. La corniche reçut une cimaise, un larmier, et même des denticules ; on lui donna le tiers de la hauteur de l'entablement, au lieu du cinquième, et on réduisit en proportions inverses la dimension de l'architrave. La frise des Panathénées, p. 52-53 Prof dicte résumé des paragraphes introductifs sur la frise: - bas relief - complétée en 432 av. Le chapiteau fut surtout modifié : l'échine et le tailloir devinrent moins saillants. Les textes byzantins faisaient même la différence entre les deux virginités. Le décor en pierre était, à l'origine, très colorée. S. Eddy, « The Gold in the Athena Parthenos ». J.-C., par les Perses de Xerxès Ier, lors de la deuxième guerre médique[19]. Le dernier degré sur lequel reposent les colonnes doriques est le stylobate tandis que le stéréobate est réalisé en pôros, variété de tuf tendre. Il s'agit de l'histoire d'Érechthée, l'un des premiers rois d'Athènes, qui dut repousser l'armée d'un rival, Eumolpe. J.-C., dans l'Athènes classique dominée par Périclès. Sa construction a pu avoir lieu au moment de la restauration des remparts de l'Acropole en 1708. Les Centaures sont figurés avec des traits rappelant ceux des masques de théâtre ; ils sont vêtus de peaux d'animaux et sont armés de branches d'arbres. Cliquez sur une vignette pour l’agrandir. Les colonnes doriques les plus anciennes étaient très trapues (premier temple d'Aphaia à Égine), puis elles s'affinent avec le temps. Une nouvelle mosquée est construite à l'intérieur du Parthénon après 1699. La frise à relief continu est un motif de l'ordonnance ionique extérieure ; mais le Parthenon avait été conçu sur le type, usuel en Grèce propre, du temple dorique. L'abside paléochrétienne est remplacée par une nouvelle abside plus grande qui intègre les deux colonnes centrales de l'ancien pronaos, nécessitant à nouveau la dépose d'une partie de la frise. B.− En partic., ARCHIT. Que représente la frise du parthénon La frise du Parthénon ou « frise des Panathénées » est un ensemble décoratif du temple du Parthénon situé sur l'Acropole d'Athènes en Grèce.Sculptée, dans des plaques de marbre, par Phidias au V e siècle av. On distingue aussi des hydries, qui semblent indiquer une bataille se déroulant à l'intérieur de bâtiments. Son toit était couvert de 8 480 tuiles plates de marbre de 50 kg chacune, agrémentées d'antéfixes en palmettes polychromes et figurant des têtes de lions aux angles, qui faisaient office de gargouilles[22]. Les marbres du Parthénon, également connus sous le nom de marbres d'Elgin, font partie des collections incontournables du British Museum de Londres. Les métopes sud, peu vues, y échappèrent aussi ; peut-être aussi parce que le programme iconographique (des centaures) se trouvaient encore dans l'art byzantin de l'époque. Reconstitution par M. Lambert. À l'origine les plaques étaient colorées. s'il était le temple d'Athéna Parthénos[réf. Les galeries dans les églises anciennes étaient réservées aux femmes. Parmi les applications les plus réputées qui ait été faite de ce système d'architecture, les Propylées et le Parthénon à Athènes. Les métopes sont alternées avec des éléments d’ornement à rainures verticales appelés triglyphes. L'ordre dorique et subst. J.-C.[13],[14]. Aucune prêtresse n'y était attachée et on ne lui connaît aucun autel ou nom cultuel[39].

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